La composition de ce tableau illustre bien la nécessité pour Arcabas d’exprimer son sujet par l’union des deux langages, le figuratif et l’abstrait : ce qu’on voit et qui est reconnaissable et ce qu’on ne voit pas mais qu’on ressent, ici traduit en toute liberté par un damier de couleurs, à l’intérieur duquel on distingue deux petites croix telles que les représentait l’artiste.
2006